Quand la route de LabOxy dépasse les frontières… On a une petite info à vous donner, et c’est Benjamin, notre CEO qui s’y colle dans cette tribune, également publiée sur LinkedIn si vous souhaitez réagir.
« La vie d’un entrepreneur est jonchée de réussites et de difficultés. Aujourd’hui, j’ai franchi une étape importante qui me tenait à cœur depuis plusieurs années.
Lorsque j’ai décidé de créer LabOxy, j’avais fait dans ma tête une petite liste d’étapes que je voulais absolument réaliser en tant qu’entrepreneur.
Voici les 3 premières étapes que j’ai pu réaliser à ce jour :
• le tout premier contrat signé. Cela veut dire que notre travail apporte de la valeur à un client ; d’ailleurs, 6 ans après, ce client utilise toujours notre logiciel, ce qui me donne encore plus de satisfaction ;
• la toute première embauche. C’est offrir un salaire, une situation, à une personne, et commencer à fédérer une équipe autour du projet. Je n’oublierai jamais mon premier “tu commences lundi ?”
• la toute première levée de fonds avec des Business Angels. C’est la validation par des experts du business que l’entreprise a un véritable avenir, avec des perspectives de croissance.
Aujourd’hui, nous avons validé une quatrième étape : la toute première vente hors Europe !
Une entreprise canadienne, équivalente à une SATT (Sociétés d’Accélération du Transfert de Technologies) française, s’est abonnée à notre logiciel pour sécuriser la déclaration de ses activités R&D éligibles au SR&ED, l’équivalent du “Crédit d’Impôt Recherche” au Canada, loin de nos frontières.
Vous allez me dire “ce n’est pas grand chose”. Certes, mais pour l’entrepreneur que je suis, l’étape est importante, cruciale même. C’est l’accomplissement d’un travail colossal pour internationaliser notre offre. C’est la preuve qu’à 5.000 kilomètres d’ici, le marché reste le même, alors que notre offre pour le CIR semblait très franco-française, et peu propice à sortir hors de nos frontières. Mais c’est également une participation, aussi modeste soit-elle, à l’économie de notre pays, à la balance commerciale. Et je n’attends qu’une chose, c’est que nous y participions davantage. Cela confirme à la fois que nous sommes prêts pour l’international, mais que nous avons réellement envie de nous développer dans cette direction.
J’en profite pour remercier chaleureusement cette entreprise canadienne et leurs dirigeants, qui liront fort probablement ces lignes, pour la confiance qu’ils nous ont accordée.
Go ! »
Benjamin Néel
CEO de LabOxy